Tout et rien
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coronavirus
Un grand merci pour les êtres qui ont élaboré puis offert cette magnifique narration.
Hello ! Je retransmets ce texte poignant qui devrait nous faire bien songer à une des pires années (du siècle) que nous devons maintenant affronter, (à cause d'un terrible malheur) inenvisageable sauf, par quelques " rares " prophètes ? Désormais, il faut alors suivre les conseils pour que ce maudit virus faiblisse le plus rapidement possible, avant de faire des millions de victimes. Donc, pendant que nos scientifiques cherchent le bon remède pour éradiquer ce Covid-19, il faut que tout le monde, (sans exception) soit vraiment confiné (si possible) et dans tous les cas, sauf pour les principaux. Tenez bon et courage. Good Bye !
Réponse de --- DIABLOFUN ---
C'était en mars 2020 ! Les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir mais le printemps ne savait pas, et les fleurs ont commencé à fleurir, le soleil brillait, les oiseaux chantaient, les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait pus tôt.
C'était en mars 2020 ! Les jeunes devaient étudier en ligne, et trouver des occupations à la maison, les gens ne pouvaient plus faire de shopping, ni aller chez le coiffeur. Bientôt il n'y aurait plus de place dans les hôpitaux, et les gens continuaient de tomber malades Mais le printemps ne savait pas, le temps d'aller au jardin arrivait, l'herbe verdissait.
C'était en mars 2020 ! Les gens ont été mis en confinement. Pour protéger les grands-parents, familles et enfants. Plus de réunion ni repas, de fête en famille. La peur est devenue réelle et les jours se ressemblaient mais le printemps ne savait pas, les pommiers, cerisiers et autres ont fleuri, les feuilles ont poussé.
Les gens ont commencé à lire, jouer en famille, apprendre une langue, chantaient sur le balcon en invitant les voisins à faire de même, ils ont appris une nouvelle langue, être solidaires et se sont concentrés sur d'autres valeurs. Les gens ont réalisé l'importance de la santé, la souffrance, de ce monde qui s'était arrêté, de l'économie qui a dégringolé mais le printemps ne savait pas. Les fleurs ont laissé leur place aux fruits, les oiseaux ont fait leur nid, les hirondelles étaient arrivées.
Puis le jour de la libération est arrivé, les gens l'ont appris à la télé. Le virus avait perdu, les gens sont descendus dans la rue, chantaient, pleuraient, embrassaient leurs voisins, sans masques ni gants. Et c'est là que l'été est arrivé, parce que le printemps ne savait pas. Il a continué à être là malgré tout, malgré le virus, la peur et la mort. Parce que le printemps ne savait pas, il a appris aux gens le pouvoir de la vie.
Réponse de --- DIABLOFUN ---
Tout va bien se passer, restez chez vous, protégez-vous, et profiterez de la vie (restreinte) établie par le confinement. Dans le jeu, vive surtout le fair play ! Alors, restez solidaires, aimables, chevaleresques, sociables, magnanimes et donc, faites honneur au tarot ! (*_*)
Réponse de --- DIABLOFUN ---
S.V.P. Peut-on mettre le pluriel au verbe sonner et donc, écrire sonnent à mon titre. Merci
Réponse de Glad
Bonjour.
Je dois reconnaître que ton message est fort sympathique..
Soyez prudents merci.
Réponse de cameleon54
J' ignorais que la diable avait une belle plume , dans les flammes de l' enfer, on poétise aussi.
Réponse de Camphinois
Si cette Libération pouvait être Fêtée Par des cris D'enfants dans les rues et non des chars d'assaut Quel bonheur et que si ce virus est vaincu alors faites sonner tous nos clochers d'églises ou nos sirènes de mairie
Réponse de boscavert
Extrait de, Pour qui sonne le glas:
«"Pas d'adieu, guapa, parce que nous ne sommes pas séparés. J'espère que tout ira bien dans les Gredos. Va maintenant. Va pour de bon. Non", il continuait à parler tranquillement, sagement, tandis que Pilar entraînait la jeune fille. "Ne te retourne pas. Mets ton pied dans l'étrier. Oui. Ton pied. Aide-la", dit-il à Pilar. "Soulève-la. Mets-la en selle."Il tourna la tête, en sueur, et regarda vers le bas de la pente puis ramena son regard à l'endroit où la jeune fille était en selle avec Pilar auprès d'elle et Pablo juste derrière. "Maintenant, va", dit-il. "Va."Elle allait tourner la tête. "Ne regarde pas en arrière", dit Robert Jordan. "Va." Et Pablo frappa le cheval sur la croupe avec une entrave.»
Ernest Hemingway
Réponse de boscavert
La chansonette est un hymne de victoire, celui de la rue, des gens heureux.
Un jour viendra ou les musiques joyeuses célébreront la fin d'une pandémie.
Réponse de --- DIABLOFUN ---
Il y a eu plusieurs livres et versions du film : Pour qui sonne le glas. Je pense que la plus célèbre fut celle avec Ingrid Bergman et Gary Cooper mais selon les criques parait-il, elle ne serait pas la meilleure ? J'ai choisi ce titre car il est percutant (hélas mal orthographié par inattention). Je vous rappelle que ce beau texte est non écrit par moi, (juste recopié). Donc, je remercie encore vraiment une de mes potes qui a voulu le fournir par courriel !