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En 10 jours cette image accompagnée du texte qui suit a suscité des centaines de votes positifs sur le réseau Quora de questions/réponses où j'interviens souvent... alors je vous la partage :
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Elle n'a mis au monde qu'un seul petit. Un seul trésor, unique, fragile, précieux. Et depuis cet instant, elle n'a plus pensé qu'à une seule chose : le protéger. Elle le garde contre elle comme si le monde entier était une menace, comme si ses bras, ses pattes et son coeur étaient le seul rempart possible entre ce minuscule être et tout ce qui pourrait lui faire du mal.
Depuis la naissance, elle ne l'a pas quitté une seule seconde. Elle veille sur lui quand il dort, elle l'entoure quand il cherche à téter, elle le rassure quand il sursaute dans son sommeil. Et quand il gémit faiblement, elle resserre son étreinte, comme pour lui dire : « Je suis là. Je serai toujours là. »
Elle le serre fort contre elle, son museau posé tout près de sa petite tête, et dans ce geste il y a tout l'amour du monde. Comme si elle lui murmurait : « Je t'ai attendu toute ma vie. Et maintenant que tu es là, je ne te lâcherai jamais. »
Le petit, lui, n'a pas besoin de grand-chose pour être heureux. Sa maison, c'est le corps de sa maman. Sa musique, c'est le battement régulier de son coeur. Sa chaleur, c'est la fourrure douce dans laquelle il s'enfouit. Et son bonheur tient à peu : un câlin, une respiration paisible contre lui, et cet amour pur, absolu, que seule une mère peut donner.
Il est minuscule, encore incapable de comprendre le monde, mais déjà il sait une chose essentielle : tant que sa maman est là, il est en sécurité. Et ce lien, invisible mais indestructible, continuera à grandir avec lui.
Parce que l'amour d'une maman est ainsi : silencieux, sans discours, sans artifices. Il ne se crie pas, il ne s'explique pas. Il se vit, il se ressent. C'est une présence qui parle droit à l'âme.
Et cette image ? Ce n'est pas seulement deux chats qui dorment enlacés. C'est l'essence même de la tendresse. La preuve que parfois, le plus beau langage du monde se résume à un geste : celui d'une mère qui serre son enfant contre elle, et d'un enfant qui s'endort en sachant qu'il n'a rien à craindre.


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Le texte n'est donc pas de moi ni la photo.
Le texte est bien écrit, il entre dans le cocon...mais il y a ce truc un peu exclusif, un brin sexiste.
Alors c'est sûr, chez les chats, le père n'est pas très...paternel.
Mais le dernier paragraphe est généraliste, il ne s'agit plus des chats, et s'il dit que "seule une mère..." il sous entend alors qu'un père n'était pas capable d'un amour plus grand que sa propre vie, un amour inconditionnel, protecteur et déchirant...parfois même étouffant et destructeur...tout à la fois ?
Cette posture me semble trop restrictive pour y adhérer