Archives des discussions obsolètes.
À lire (ou relire) et ensuite transmettre, voire garder pour les êtres qui aiment la poésie et malgré tout, encore la France.
Merci de m'avoir transmis ce texte écrit par ALPHONSE DAUDET (légèrement rectifié), car l'histoire est un éternel recommencement.
Espérons que ce ne soit pas le cas...pour nos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants...
Rappel : ALPHONSE DAUDET est né à BEZOUCE (Gard) entre REMOULINS et NÎMES
Ce lexème de : A. D. est tiré des " Contes du lundi "
L'histoire se passe en 1871 après la défaite et l'occupation de l'Alsace-Lorraine par les prussiens. L'Angélus sonna, suivi des trompettes prussiennes. Le français cessa alors d'être la langue enseignée "!
Ce matin-là j'étais très en retard pour aller à l'école, et j'avais grand peur d'être grondé, d'autant que Monsieur HAMEL nous avait dit qu'il nous interrogerait sur les participes, et je n'en savais pas le premier mot. Une idée me vint de manquer la classe et de prendre ma course à travers champs.
Le temps était si chaud, si clair. On entendait les merles siffler à la lisière du bois, et dans le pré RIPPERT derrière la scierie, les Prussiens faisaient l'exercice. Tout cela me tentait bien plus que la règle des participes, mais j'eus la force de résister, et je courus bien vite vers l'école.
En passant devant la mairie, je vis qu'il y avait du monde arrêté près du petit grillage aux affiches.
C'est de là que nous sont venues toutes les mauvaises nouvelles, les batailles perdues, les réquisitions, les ordres de la kommandantur.
Et je pensai sans m'arrêter : « Qu'est-ce qu'il y a encore ? »
Alors, comme je traversais la place en courant, le forgeron WACHTER, qui était là avec son apprenti en train de lire l'affiche, me cria:
-« Ne te dépêche pas tant, petit, tu y arriveras toujours assez tôt à ton école ! »
Je crus qu'il se moquait de moi pendant que j'entrai tout essoufflé dans la petite cour.
D'ordinaire, au commencement de la classe, il se faisait un grand tapage qu'on entendait jusque dans la rue, les pupitres ouverts, fermés, les leçons qu'on répétait très haut tous ensemble en se bouchant les oreilles pour mieux apprendre et la grosse règle du maître qui tapait sur les tables.
Je comptais sur tout ce train pour gagner mon banc sans être vu mais justement ce jour-là tout était tranquille, comme un matin de dimanche. Par la fenêtre ouverte, je voyais mes camarades déjà rangés à leurs places et Monsieur HAMEL qui passait et repassait avec la terrible règle en fer sous le bras. Il fallut ouvrir la porte et entrer au milieu de ce grand calme. Vous pensez, si j'étais rouge et si j'avais peur ! Eh bien, non. Monsieur HAMEL me regarda sans colère et me dit très doucement:
« Va vite à ta place, mon petit Frantz, nous allions commencer sans toi. »
J'enjambai le banc et je m'assis tout de suite à mon pupitre. Alors seulement, un peu remis de ma frayeur, je remarquai que notre maître avait sa belle redingote verte, son jabot plissé fin et la calotte de soie noire brodée qu'il ne mettait que les jours d'inspection ou de distribution de prix. Du reste, toute la classe avait quelque chose d'extraordinaire et de solennel. Mais ce qui me surprit le plus, ce fut de voir au fond de la salle, sur les bancs qui restaient vides d'habitude, des gens du village assis et silencieux comme nous, le vieux HAUSER avec son tricorne, l'ancien maire, l'ancien facteur, et puis d'autres personnes encore. Tout ce monde-là paraissait triste et HAUSER avait apporté un vieil abécédaire mangé aux bords qu'il tenait grand ouvert sur ses genoux, avec ses grosses lunettes posées en travers des pages.
Pendant que je m'étonnais de tout cela, Monsieur HAMEL était monté dans sa chaire, et de la même voix douce et grave dont il m'avait reçu, il nous dit:
« Mes enfants, c'est la dernière fois que je vous fais la classe. L'ordre est venu de BERLIN de ne plus enseigner que l'allemand dans les écoles de l'ALSACE et de la LORRAINE ! Le nouveau maître arrive demain. Aujourd'hui c'est votre dernière leçon de français. Je vous prie d'être bien attentifs.»
Ces quelques paroles me bouleversèrent. Ah ! Les misérables, voilà ce qu'ils avaient affiché à la mairie.
Ma dernière leçon de français ! Et moi qui savais à peine écrire ! Je n'apprendrais donc jamais ! Il faudrait donc en rester là ! Comme je m'en voulais maintenant du temps perdu, des classes manquées à courir les nids ou à faire des glissades sur la SAAR ! Mes livres que tout à l'heure encore je trouvais si ennuyeux, si lourds à porter, ma grammaire, mon histoire sainte me semblaient à présent de vieux amis qui me feraient beaucoup de peine à quitter. C'est comme Monsieur HAMEL. L'idée qu'il allait partir, que je ne le verrais plus me faisait oublier les punitions et les coups de règle. Pauvre homme !
C'est en l'honneur de cette dernière classe qu'il avait mis ses beaux habits du dimanche, et maintenant je comprenais pourquoi ces vieux du village étaient venus s'asseoir au bout de la salle. Cela semblait dire qu'ils regrettaient de ne pas y être venus plus souvent, à cette école. C'était aussi comme une façon de remercier notre maître de ses quarante ans de bons services, et de rendre leurs devoirs à la patrie qui s'en allait.
J'en étais là de mes réflexions, quand j'entendis appeler mon nom. C'était mon tour de réciter. Que n'aurais-je pas donné pour pouvoir dire tout au long cette fameuse règle des participes, bien haut, bien clair, sans une faute mais je m'embrouillai aux premiers mots, et restai debout à me balancer dans mon banc, le coeur gros, sans oser lever la tête. J'entendais Monsieur HAMEL qui me parlait.
«Je ne te gronderai pas, mon petit Frantz, tu dois être assez puni...voilà ce que c'est. Tous les jours on se dit : bah ! J'ai bien le temps. J'apprendrai demain. Et puis tu vois ce qui arrive...Ah ! Ça été le grand malheur de notre ALSACE de toujours remettre son instruction à demain. Maintenant ces gens-là sont en droit de nous dire : comment ! Vous prétendiez être Français, et vous ne savez ni parler ni écrire votre langue ! Dans tout ça, mon pauvre Frantz, ce n'est pas encore toi le plus coupable. Nous avons tous notre bonne part de reproches à nous faire.
« Vos parents n'ont pas assez tenu à vous voir instruits. Ils aimaient mieux vous envoyer travailler à la terre ou aux filatures pour avoir quelques sous de plus. Moi-même n'ai-je rien à me reprocher ? Est-ce que je ne vous ai pas souvent fait arroser mon jardin au lieu de travailler ? Et quand je voulais aller pêcher des truites, est-ce que je me gênais pour vous donner congé ? »
Alors d'une chose à l'autre, Monsieur HAMEL se mit à nous parler de la langue française, disant que c'était la plus belle langue du monde, la plus claire, la plus solide, qu'il fallait la garder entre nous et ne jamais l'oublier, parce que, quand un peuple tombe esclave, tant qu'il tient sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison. Puis, il prit une grammaire et nous lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup.
La leçon finie, on passa à l'écriture. Pour ce jour-là, Monsieur HAMEL nous avait préparé des exemples tout neufs, sur lesquels était écrit en belle ronde : FRANCE, ALSACE, FRANCE, ALSACE. Cela faisait comme des petits drapeaux qui flottaient tout autour de la classe pendu à la tringle de nos pupitres. Il fallait voir comme chacun s'appliquait et quel silence ! On n'entendait rien que le grincement des plumes sur le papier. Un moment des hannetons entrèrent mais personne n'y fit attention, pas même les tout petits qui s'appliquaient à tracer leurs bâtons, avec un coeur, une conscience, comme si cela encore était du français. Sur la toiture de l'école, des pigeons roucoulaient bas, et je me disais en les écoutant.
« Est-ce qu'on ne va pas les obliger à chanter en allemand, eux aussi ? »
De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais Monsieur HAMEL immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui comme s'il avait voulu emporter dans son regard toute sa petite maison d'école...pensez ! Depuis quarante ans, il était là à la même place, avec sa cour en face de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage. Les noyers de la cour avaient grandi, et le houblon qu'il avait planté lui-même enguirlandait maintenant les fenêtres jusqu'au toit. Quel crève-coeur ça devait être pour ce pauvre homme de quitter toutes ces choses, et d'entendre sa soeur qui allait, venait, dans la chambre au-dessus, en train de fermer leurs malles car ils devaient partir le lendemain, s'en aller du pays pour toujours.
Tout de même, il eut le courage de nous faire la classe jusqu'au bout. Après l'écriture, nous eûmes la leçon d'histoire, ensuite les petits chantèrent tous ensemble le BA BE BI BO BU. Là-bas au fond de la salle, le vieux HAUSER avait mis ses lunettes et, tenant son abécédaire à deux mains, il épelait les lettres avec eux. On voyait qu'il s'appliquait lui aussi car sa voix tremblait d'émotion et c'était si drôle de l'entendre, que nous avions tous envie de rire et de pleurer. Ah ! Je m'en souviendrai de cette dernière classe !
Tout à coup l'horloge de l'église sonna midi, puis l'Angélus. Au même moment, les trompettes des Prussiens qui revenaient de l'exercice éclatèrent sous nos fenêtres. Monsieur HAMEL se leva, tout pâle, dans sa chaire. Jamais il ne m'avait paru si grand.
« Mes amis, dit-il, mes amis, je...je...»
Mais quelque chose l'étouffait. Il ne pouvait pas achever sa phrase. Alors il se tourna vers le tableau, prit un morceau de craie et, en appuyant de toutes ses forces, il écrivit aussi gros qu'il put : « VIVE LA FRANCE »
Puis il resta là, la tête appuyée au mur et, sans parler, avec sa main il nous faisait signe :
« C'est fini...allez-vous-en. »
Le texte est beau, la France est belle, l'actuelle amitié FRANCO-ALLEMANDE est, magnifique.
pourrait t on avoir un resumé et savoir ce que tu veux dire ?
et surtout quel rapport a cet article illisible avec le tarot
mercixxxx
Un témoignage , d'après un écrit d'Alphonse Daudet, sur la situation de l'Alsace et la lorraine en 1871.......bien , l'histoire , il faut toujours la connaître.
Cependant , de nos jours , nos enfants peuvent apprendre le français , l'allemand , l'anglais et autres....tant mieux!
Il faut l'encourager et oeuvrer pour que cette liberté perdure.
@Michel
Aucun rapport avec le tarot , en effet.
Mais tous les posts du forum sont pas toujours en rapport avec le tarot......on a quelques amoureux de litterature aussi , occasionnellement.
Baahh.. pas de rapport avec le tarot !! c'est juste pour cette raison qu'il est bien posté dans la bonne rubrique 'de tout et de rien"... "Discutez ici des tout et de rien, sur n'importe quel sujet."... c'est juste écrit tout en haut...
Hello !
Cette belle histoire touchante narrée par ALPHONSE DAUDET est recopiée vraiment dans la bonne rubrique (à tout et rien).
Merci aux personnes raisonnables qui viennent aussi de le préciser !
Bye, bye !
Merci Even pour ce beau texte d'Alphonse Daudet qui me rappelle tellement mon enfance.
le probleme n est pas la ! il est que j ai horreur des personnages qui changent de pseudo pour faire oublier qui ils sonts reelement et qui viennent faire le beau et se faire mousser
rodgers ne changera jamais ! ! !
Lol Michel
T'inquiète,Rodgers ou even more ou ce que bon lui chante n'a que recopié, c'est Daudet qi' a écrit et que l'on salue.
Personne est dupe!
Tout à fait d'accord avec Michel même si j'apprécie le caractère Raisonnable de MISS FAIRY
Oui cam-Phin, j'essaie toujours d'être raisonnable sur le forum, pour être en conformité avec les attentes du site.
Mais en MP ou plus généralement dans la vie , je le suis beaucoup moins lol.
ok miss , merci cam ; mais il faut bien de temps en temps rappeller qui il est a EVENDIABLORODGER
Lol fidèle à elle même Miss kiddo.....piquante à souhait! Rires.
Pour le coup des neveux, trop fort.......il fallait le faire, c'était tellement à propos.
Quand même , cette fadaise "du neveu",pourquoi pas avaler des couleuvres aussi lol.
je te sudgere : - MUCH...LESS - comme prochain pseudo mon tonton adoré il te va comme un gant lol
Bonjour à tout le monde et quand même aux quatre railleur(e)s !
Je suis déçu car vous mélangez tout bêtement.
Il ne faut pas confondre la région du périnée avec la région des Pyrénées (lol) ou, les régions des pires ainées ? (Comme vous peut être)
(Aucune gloriole chez moi, contrairement à vos suffisances).
Je note que les deux principales arapèdes du forum viennent de se multiplier avec deux tellines.
Merci à toutes les autres personnes qui ont apprécié ma simple copie du célèbre ALPHONSE DAUDET.
Ciao !
lol Miss, et donc, il vaut être un peu "fadoli" plutôt que fade au lit, comme certaines personnes ?
Avant que les perfectionnistes relatent mon erreur de frappe au clavier, je rectifie tardivement la faute et narre, (mdr) pour la cultivée railleuse tatillonne ma phrase à nouveau, mais plus courte.
Être un peu « fadoli » est mieux que fade au lit.
Coucou
En effet , rectification à 3h12, j avais pas fait attention à l'horaire. ....j'en peu plus de rire là.
Mais mon pauvre "FADOLI", !es arapedes et les tellines dorment ou "s amusent" à ces heures là.
A Moins que ça dorme pas un mollusque..!?!?.....tiens sujet du jour:
LE SOMMEIL DES MOLLUSQUES ET DES BIVALVES.
Ca devrait occuper ta journée ,FADOLI.......lol
Et n'hésite pas de nous éclairer de tes lumières! Rires
Ça c'est la richesse de la langue française. .....je te laisse interpréter comme tu veux.
Moi , je parlais de l'animal marin.....mais cest vrai qu'en y pensant, on peut y voir tout autres choses.Rires.
Attention les journées sauce Bolognese arrivent..
Peu importe quand on poste « mes » poulettes qui se la pètent mais répètent et caquètent hélas pour rabâcher surtout les mêmes utopies.
Comme vous êtes deux, voire trois (avec parfois un « gaulois » consultant) afin de mieux vous liguer contre moi pour me nuire dans le forum, je vais être souvent débordé.
Désormais KILL BILL (ex LEELOO) et sa nouvelle recrue, une impulsive nerveuse qui, (de par son alias) me rappelle la navette plus clean (lol) du vieux port de Marseille, baptisé depuis longtemps FERRY BOAT, plus le troisième renfort provisoire « idée fixe » moins important qui manque « un peu » de culture ou imagination pour « bien » me railler et donc, aura toujours une seule idée fixe, vous me rappelez la bande des pieds nickelés.
Si « mes » soi-disant FIFI, RIRI, LOULOU etc. (Ou tutti quanti) existaient, ils se fendraient bien la poire avec ou sans Hélène voire en la dégustant.
Par messages personnels antérieurs, vous les mentors menteurs ou meneuses affabulatrices êtes déjà venues conspuer (en un seul mot) le sudiste récalcitrant car vous saviez que je ne blackliste pas ni, fait de rapports multiples (à contact) pour me plaindre, voire ailleurs. Le gentleman préfère abolir humoristiquement les invectives malveillantes et comme vous perdiez la face, je fus mis après en « quarantaine » puis non blacklisté par « indulgence » voire oubli (lol) donc, je vais continuer à me défendre et toujours sans insulte ni haine.
Ave César et « Césarine » celui que vous raillez copieusement vous salue !
Bon , bien je serai toujours pas si les mollusques et les bivalves dorment. ...dommage , mais je vais m'en remettre! Lol
Et pour info "fairy"c'est fée en anglais.....pour le coup bien loin de ton ferry boat.
il va falloir te plonger dans l "harrap's", pour trouver la rime FADOLI!
De belles nuits blanches en perspectives....
GOOD AND SWEET NIGHT !
Hello « ma » volatile cocotte matinale !
Pour répondre à ton « nouveau sujet » et afin d'éviter une méprise (lol) je néglige presque tous les mots qui débutent par con. Surtout celui-ci : CONDESCENDANT. (Trois interprétations possibles).
Est-ce un con décent dans une tenue, ou un condé sans dent, voire un con descendant une montagne ?
À toi l'érudite pour « éructer » d'autres vocables similaires à connotations multiples, avec ou sans une « aide lumineuse » ton pote « Idée Fixe »
Bye, bye !
spaghetti alla bolognese : avec l'accent c'est savoureux
Donc la fée, tu est "fadade" ou "fadolie" et fade au lit (lol) peut être ?
Non , moi c'est la fée Clochette......demande à Riri , Fifi et loulou , ils doivent me connaître.
Et je suis tellement petite que je ne peux ressentir qu' un sentiment à la fois, donc la folie , c'est pour les autres.
Regardes ce pauvre Péter Pan , à mon contact , il en a développé un syndrome.!
Prends garde FADOLI......lol
Clochette = aussi petite cloche hélas ?
Dommage car en plus, selon ta grande muse, la « penderie » tu serais donc, une fée scatologique ? Aurais-tu des gastroentérites permanentes ? Si oui, tes proches vont pouvoir te suivre à la trace. Quel merdier chez toi ! Beurk.
Tu devrais me laisser ton adresse afin que je la mémorise bien pour ne jamais venir chez toi, même sur invitations. Pas envie de gouter une fausse crème au Nutella ?
Non la fée clochette c'est Tinker Bell......decidement , tes connaissances en anglais sont sommaires!
Quant à la fée calé, c'est autre chose , demande à Pandore , je réponds pas pour les autres.
Et , tu sauras que les fées n'ont pas de muse, elles sont muses! Lol
Pour le reste , excuses moi de pas répondre , mais j'ai un peu plus de hauteur , notamment à l'heure du diner.....lol
HAVVE A NICE MEAL!
LOL EVEN MORT
Çà me démangeait
Continuer les rabâchages qui deviennent lourds car ses verbiages répétitifs prouvent que - malgré une faconde parfois brillante - les trouvailles sont minimes.
Je rappelle à « tout » le monde que je voulais publier cette belle histoire écrite par ALPHONSE DAUDET pour la mémoire ou le faire connaitre ?
Je savais que des personnes ironiques (toujours les mêmes) allaient saisir cette opportunité afin de nuire ou choquer. Dommage.
Mes potes ! Pardonnons leurs, mêmes si elles savent ce qu'elles font !
Joli PARDON PRINCIER Je dirai même apostolique
Coucou les « fifilles »
À « paon d'or » Tu viens encore de me trouver une faute pour le mot gastro-entérite ! Bravo car effectivement il était mal orthographié. (1 à 0 balle, au centre). Pour ma défense, je ne connaissais pas le mot du tout ni cette inflammation du système digestif car je me lave soigneusement beaucoup les mains (et le reste aussi). Donc pour le manque de séparation, je trouve mesquin de le faire constater puisque moi, je ne relève pas tes erreurs grammaticales ni, celle des autres.
Pour mes futurs « oublis » je te transmets quelques tirets - _ - _ - que tu replaceras au bon endroit.
À « notre » soi-disant fée clochette ou du logis, (après nettoyages multiples) grâce au produit éponyme, et qui me demande de réviser mon anglais, (que je n'ai jamais étudié) comme deuxième langue, je lui suggère de bien revoir aussi notre français car elle a de grosses lacunes en syntaxe. Comme la « miss » est pote avec la « guerrière » manga, elle pourra se faire aider après ses luttes chatteuses.
La « fille » de maitre CAPELOVICI lui enseignera donc la rhétorique.
À « coco » le boy, de certains, ex « chique » (molle ou pas) je te fais un « check » pour cette fois (lol).
« Goodbye the girls »